ArtBeats Diary Art étudié : En : Love, friends and foes:
Sujet: « Say that you'll stay forever and a day, in the time of my life. » | Abygaël Jules Coxon. Dim 1 Déc - 10:24
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Identité Nom - Coxon
Prénom - Abygaël Jules
Age - Dix-neuf ans.
Date et lieu de naissance - Vingt-cinq décembre à Glasgow.
Statut - Professeur Etudiant Autre
Ton art - 2ème art : musique & chant.
Ton année d'arrivée à l'école - Deux mille treize.
Situation familiale - En couple Célibataire En relation libre
Situation financière - Aisé Moyen Pauvre
Des enfants ? - Oui Non
Boursier ? - Oui Non
Tu vis - A l'école Seul(e) en ville En colocation en ville Dans ta famille Autre
Le groupe que tu aimerais rejoindre - Happy Sleepy Sneezy Bashful Doc Dopey Grumpy
Caractère Qualités/Défauts Je sais pas. Je ne saurais pas me donner des qualités, c'est pas ce qui me vient de suite quand on me demande de me décrire. J'vois plutôt la mauvaise face de ma personnalité, celle que je montre à tout le monde parce que je ne sais pas faire autrement. Ces mots que l'on m'a répété sans cesse, que l'on m'a dit et qui reste gravé dans ma peau malgré tout. J'entends encore les "lâche" sortir de sa bouche, se heurter dans mes oreillers pour résonner dans tout mon corps. Ouais, c'est vrai, je suis un lâche. Je fuis toujours les responsabilité, les problèmes. je m'éloigne toujours de ce qui pourrait me causer du tort, de ce qui pourrait me faire du mal. Je suis un peu un déserteur qui ne veut pas faire la guerre alors que les autres se font tuer. Je suis un peu le genre de gars qui va s'blesser pour échapper à l'affrontement. C'est pas comme si je n'avais jamais eu de problème, que je n'ai pas essayé de les affronter, mais à chaque fois c'est la même chose. Quoi qu'il arrive, j'm'en vais, parce que j'suis qu'une tapette. Tapette. Ce mot me revient tellement de fois dans a face. J'prends même plus ça comme une insulte, à force ça me fait rire, tellement rire. Enfin, je ne ris jamais devant les autres, c'est d'ailleurs pour ça qu'on m'a appelé "Zombie-Boy". A l'école, en Ecosse, c'était un peu mon surnom. J'suis le mec qui sourit jamais et qui te regarde fixement comme si je voulais manger ton âme. Ils ont juste rien compris. J'ai du mal avec les autres. Beaucoup de mal. Je n'arrive pas à les approcher, ils me terrorisent. Le son de leurs voix me donnent des frissons et rien que d'imaginer leurs regards sur moi, je veux me cacher. Je sais pas, ça a toujours été comme ça, même petit. Je ne supporte pas le contact avec les autres et même quand j'essaye, ça échoue. Toujours. Et quand ça marche, c'est bizarre. Je sais jamais tenir une amitié en place... Je confonds la plupart de mes sentiments. L'amour, l'amitié... Pour moi c'est la même chose, ça se ressemble comme deux gouttes d'eau et ça me perturbe. Ouais, c'est facile de perturber. On change mon quotidien et pouf, je suis perdu. On me reproche aussi de toujours douter, de ne jamais être sûr de moi. De ne pas être franc, de ne pas savoir parler correctement aux gens. On me reproche tout le temps d'être un peu moi et pas tout le monde. Mais j'pas que des défauts, 'faut pas croire. J'suis serviable et gentil à ce qu'il paraît. Toujours là pour rendre service. Une amie m'a dit que j'étais comme un gros chat sauvage. Une fois que l'on a réussit à m'apprivoiser, on peut faire de moi ce qu'on veut. Je sais pas si c'est vrai, personne n'a jamais essayé...
Je sais pas, j'crois pas que le mot "artiste" m'aille bien, mais j'suis un peu quelque chose dans ce genre-là.
J'aime - Ce n'est pas dur de trouver des choses que j'aime, je ne suis pas très difficile. Quoi qu'il arrive. Que ce soit avec les gens, avec la nourriture... Je crois que la seule chose où je suis vraiment exigeant, c'est la musique. De toute manière, c'la seule chose que j'aime vraiment, qui est faite pour moi. J'aime par dessus tout ma première guitare. Toute première. Elle est tuée, abîmée, passée, lavée, mais elle est toujours avec moi. Couvertes de mots, de paroles, de noms de groupe, d'autocollants, c'est un peu ma vie, c'est un peu moi, juste là, dans mes bras.
J'aime pas - La vision d'ta mère le soir dans sa douche, avec ses seins qui pendent, sa cellulite, et le gras qu'elle se trimballe entre les jambes.
Physique Couleur des yeux -Bleus.
Couleur des cheveux -Brun.
Taille -Un mètre soixante-cinq.
Poids -Cinquante et un kilos.
Style vestimentaire -Ca s'décrit vraiment ce genre de choses ? Polos, slims, t-shirt, veste en cuir... J'crois qu'on appelle ça "rock'n'roll".
Histoire« Hé l'artiste, hé p'tit con. Tu vas m'laisser tomber comme ça parce qu'on t'a dit que t'avais du talent ? T'es sérieux là ? Et l'gosse t'en fais quoi ? Tu vas nous laisser crever ? C'est bien, quelle mentalité, j'te félicite Aby, t'vraiment parfait. » Un cri, un bruit de porte qui claque, des pas qui résonnent dans l'escalier, des talons qui claquent, des pleurs d'enfant. Puis, plus rien. Le silence complet. Simplement un corps qui s'étend dans un fauteuil, le bruit d'un coeur qui bat, des sanglots, des injures. Un poing qui s'abat contre un mur, une vie qui se termine au fond d'un verre d'alcool.... Abygaël ne comprend pas tout. Ca va trop vite pour lui cette histoire, pourquoi est-ce qu'il s'est embarqué là-dedans ? Le voilà à peine majeur qu'il a déjà un gosse sur les épaules... Un gosse. C'est même pas le sien ce truc. Ca crie, ça pleure, ça sert à rien, et il en est même pas le père. Non parce que des gosses il en veut pas. Alors pourquoi est-ce qu'il s'est retrouvé à garder cet enfant ? Pourquoi est-ce qu'il doit tenir une vie entre ses doigts ? Pourquoi est-ce qu'il brise toujours tout ? Ce gosse, c'le fruit de sa meilleure amie, de sa soeur, de cette chose qui finalement n'est plus grand monde dans sa tête. Elle a débarqué un jour, comme les autres en Normandie, avec son paquet et a simplement dit qu'elle avait fait une connerie. Et comme un con, comme un idiot qu'il est, il a dit que ce n'était pas grave, qu'il en prendrait soin, que ce ne serait pas un problème. Bordel de merde, mais pourquoi est-ce qu'il fait le con toujours, pourquoi est-ce qu'il n'arrive pas à garder sa vie dans le droit chemin ?
« J'en veux plus de ta merde, de ton poupon. Tu t'le gardes ! Tu t'le mets dans le cul s'tu veux, j'en ai rien à foutre, mais rien à branler, rien à cirer. Ouais, je le prends comme ça. Ouais, j't'emmerde. C'est fini, qu'est-ce que tu crois ? Que ça allait durer pour toujours ? Que t'allais profiter de moi encore longtemps ? Que t'allais passer ta vie à squatter mon appart' en t'disant que j'suis trop con pour m'rendre compte des choses ? Non, mais non. C'est fini, tout est terminé. Tu vivras à la rue si tu veux, j'en ai rien à cirer, rien à foutre, rien à branler. Tu dégages de chez moi, de ma vue, de ma vie, de tout. Tu m'oublies, Aby' il existe plus. Aby', il est plus là pour toi. Aby', il va faire sa vie, sans toi, il va aller voir ailleurs si c'pas mieux, si on lui fout pas des putains d'trucs dans l'cul quand il a le dos tourné. Il est gentil Aby' hein ? Salope. Tu crois quoi, que j'vais m'taire toute ma vie ? Tu croyais que j'allais jamais rien t'dire ? espèce de chienne. Tu couches avec n'importe qui, avec n'importe quoi. L'premier inconnu, tu te le fais contre un mur. Et après tu t'pointes avec ce gosse comme si d'rien était, une simple connerie. Et moi parce que je suis trop bon, j't'ai proposé mon aide. Et à ton gamin là, tu lui expliqueras comment qu'il est né parce que t'as pas su t'protéger ? Qu'il était pas voulu, que t'en avais pas envie ? Oh et chiale pas hein, j'crois que c'la première et la dernière fois que j'l'ouvre comme ça. Ils avaient bien raison les autres, en disant qu'il vaudrait mieux que j'm'la ferme, j'fais toujours des conneries quand j'l'ouvre. Regarde, rien que de te dire que j'm'occupais d'ta vie, c'fut la pire connerie d'ma vie, et maintenant j'la règle. Chut, stop, ta gueule. Laisse tomber. Juste casse-toi, casse-toi et laisse-moi. Laisse putain, dégage. »
Abygaël, il n'est pas du genre à parler. A cinq ans, il ne disait pas un mot. Il a fallu le forcer, il a fallu le menacer. Il ne l'ouvre jamais, il n'aime pas ça, pas avec les autres. Mais depuis quelques temps, sa vie va trop mal. Tout tourne en rond, tout va de travers et rien dans le sens qu'il veut. Il n'a jamais eu de chance. Sa mère s'est suicidée, son père l'a presque abandonné et son frère.. Il existe lui ? N'importe quoi. Il a vécu dans un quartier pauvre de Glasgow, il récupérait les vieilles fringues du voisin, ou de son frère, il s'en sortait comme il le pouvait. Il n'avait pas d'argent de poche, il était obligé de voler dans les supérettes pour des sucreries. Il était l'homosexuel de l'école, le petit gay qu'on aime bien martyriser. Ce genre de choses. Mais il n'a jamais rien dit. Il s'est juste renfermé sur lui-même, un peu plus. A huit ans, il a eu sa première guitare. C'est son oncle qui lui a offert. Ca et le goût pour les bonnes choses. Il a appris seul, comme les grandes stars du rock. Jimi Hendrix jouait de la guitare à l'envers parce qu'il ne pouvait pas se payer une guitare de gaucher. Lui, il pouvait pas se payer de cours, de prof, rien. Et à force, on finit par y arriver. A quatorze ans, ce sont ses premiers textes qui ont vu le jour. Entre deux cigarettes avec les quelques "potes" du quartier, entre deux bières volées, entre deux filles trouvées. A quinze ans, il y a eu elle. Celle qu'il considérait comme sa seule famille, elle a débarqué comme ça dans sa vie. Elle était jeune, frêle, anorexique. Elle voulait mourir, tout simplement en finir avec sa vie. Quelque part, c'est Abygaël qui l'a sauvé, ils se sont sauvés. Mais elle a mal tourné. Trop mal. Elle faisait le trottoir pour une somme dérisoire, ils s'éloignaient. La musique prenait une place trop importante dans la vie d'Aby, et elle ne s'en sortait pas... Elle profitait de lui, de tout, du peu d'argent qu'il pouvait se faire, du peu d'argent qu'il pouvait gagner. Elle lui volait ses mecs, elle les baisait comme ça, dans son lit, dans sa cuisine. Mais il la pardonnait toujours, parce que c'était sa famille. Ca a duré des années, trois, quatre ans, jusqu'à ce qu'il abandonne. Qu'il dise stop. Qu'il envoie tout chier, qu'il dise ce qu'il pense pour la seule fois dans sa vie. Tout ça, c'est parti d'une simple phrase, d'un simple mot... D'un simple aveu.
« Bébé, j'm'casse. J'm'en vais. Fini pour moi la misère, fini pour moi la galère, j'ai peut-être compris que j'ratais la chance d'ma vie. 'Faut que j'aille là-bas, il le faut... Hé fait pas c'te tête, c'pas pour toujours... » S'en suivit une dispute tellement grosse qu'une claque était partie de chaque côté. C'était la première fois, il n'en aura pas d'autres. Elle lui a reproché des choses inutiles, des choses qui font mal, elle lui a dit qu'il était nul, qu'il ne savait rien faire, qu'il était bon à rien. Et de nouveau le doute s'est emparé de lui, de nouveau il a commencé à se dire qu'il ne valait rien, que peut-être il était mieux là, à jouer le faux père, il grattouiller des notes sur sa guitare pendant qu'elle profitait de lui... Non, il ne pouvait décidément pas se résoudre à ça, à cette vie de merde. Il devait essayer, sinon il s'en voudrait toute sa vie. Et s'il échouait, il reviendrait, la tête basse, murmurant un "tu avais raison, ch'uis qu'une merde... Hé bébé, pardonne-moi."
Il n'a pas raté. Il a été accepté. Parce que quelque part, il est un peu doué. Même s'il ne le sait pas, même s'il ne le dit pas. Il a mis presque trois mois avant de se décider, avant de se dire "ok ça va, c'est bon, j'y vais". Il a réglé ses problèmes, il a essayé. Il a changé. Il est devenu le Abygaël qu'on connait, celui qui se tait de nouveau, qui ne regarde personne dans les yeux. L'Abygaël solitaire, l'enfant perdu. Mais il est là, il va pouvoir faire de la musique, il va pouvoir vivre sa passion. Au moins, il pourra juste mourir heureux.
Joueur Prénom ou pseudo -Sorenza/ Jukie ou LikeNovocaine.
Age -16 ans.
Région -France.
Années de RP -5 ans.
Comment as-tu trouvé le forum ? -On me l'a passé.
Qu'en penses-tu ? -J'aime biiien.
Fréquence de connexion -Ca dépend vachement, il y a des moments où je suis là genre H24 et d'autre où on me voit pas pendant plusieurs jours. Ca dépend de mon état moral, de mon envie, toussa.
Nombre de lignes/mots par RP -Idk. :c je m'adapte.
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Sujet: Re: « Say that you'll stay forever and a day, in the time of my life. » | Abygaël Jules Coxon. Dim 1 Déc - 10:42
Bienvenue parmi nous Kaméha !!! Si tu as des questions, n'hésites surtout pas :plus: Et si tu as pas de questions...N'hésites surtout pas !!! (oui, bon ok, je sors loin..)
Shea C. Boham
Date d'inscription : 15/10/2013 Messages : 148 Avatar : Christina Milian Statut : Compliqué Orientation : Hétéro Crédits : Blueberry Photo de casting :
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Sujet: Re: « Say that you'll stay forever and a day, in the time of my life. » | Abygaël Jules Coxon. Dim 1 Déc - 10:43
Fiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiirst ! (bah non en fait ) Bienvenue parmi nous, si jamais tu as une question, un souci, une simple demande, n'hésite pas à nous harceler de MP (oui oui, on adore ça ici, tu verras) J'espère que tu te plairas sur Artbeats
Nina G. Milaney
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Sujet: Re: « Say that you'll stay forever and a day, in the time of my life. » | Abygaël Jules Coxon. Dim 1 Déc - 10:50
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Sujet: Re: « Say that you'll stay forever and a day, in the time of my life. » | Abygaël Jules Coxon. Lun 2 Déc - 1:44
Merci ! ♥
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Sujet: Re: « Say that you'll stay forever and a day, in the time of my life. » | Abygaël Jules Coxon. Lun 2 Déc - 2:38
Hey, Abygaël J. Coxon tu fais partie de Artbeats
Bienvenue à toi l’artiste, je vois que tu es maintenant validé(e) ! Félicitations !
Maintenant que tu fais partie de la communauté Artbeats, nous te recommandons d’aller consulter plusieurs sujets importants. Avant toute chose, il faut référencer ton avatar dans le registre des artistes. Ça serait dommage qu’on te le pique, non ? Il faut également que tu actives ta feuille de personnage, ici renommée ArtBeats Diary , en allant dans ton profil. Une fois ceci fait, tu pourras visiter la catégorie des liens pour créer ta propre fiche et visiter celles des autres. A cet endroit ci tu pourras organiser tes RP et par là tu trouveras les réseaux sociaux et smartphones.
Voilà, je crois que j’ai terminé. Si tu as la moindre question, n’hésite surtout pas à contacter le jury d’Artbeats
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Sujet: Re: « Say that you'll stay forever and a day, in the time of my life. » | Abygaël Jules Coxon.
« Say that you'll stay forever and a day, in the time of my life. » | Abygaël Jules Coxon.
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(bah non en fait )
